Le « Business Angel » est un mode de financement pratique, destiné à apporter une solution adaptée aux problématiques des jeunes entrepreneurs au moment de la mise en place du projet. Avec un investissement global estimé à 50 millions d’euros en moyenne sur les 3 dernières années, le « Business Angel » fait partie des solutions de financement d’entreprise les plus courantes en France. Les Business Angels sont des investisseurs indispensables De nombreux jeunes entrepreneurs rencontrent aujourd’hui des difficultés dans la réalisation de leurs projets, faute de financement. Pour avancer malgré tout, nombreux sont ceux qui choisissent de faire appel aux services d’un courtier en crédit immobilier afin de souscrire à un prêt comme le crédit conso, remboursable sur plusieurs années. Les Business Angels sont des personnes physiques qui investissent une partie de leurs capitaux personnels au sein de nouvelles entreprises aux concepts novateurs. Ils apportent aujourd’hui les meilleures solutions de financement pour les entreprises dans l’hexagone. Sans aucune restriction par rapport aux secteurs d’activités des entreprises, ces professionnels indépendants de l’aventure entrepreneuriale proposent un financement à condition que la société dispose d’un fort potentiel de croissance. Fins connaisseurs du marché entrepreneurial, les Business Angels correspondent généralement à 3 principaux profils : ancien cadre ou chef d’entreprise, entrepreneur ayant créé son entreprise puis l’ayant revendu, membre actif « d’un family office ». Si les Business Angels ont aujourd’hui du succès, c’est grâce à leurs compétences et à l’accompagnent dont ils font profiter les entreprises. Ils n’ont pas de réserves par rapport aux situations à risque et ils sont très réactifs, ce qui les a transformés en des acteurs majeurs du monde entrepreneurial. Les jeunes entreprises peuvent ainsi bénéficier d’une solution de financement adaptée et d’un potentiel de croissance non négligeable. Comment assurer et obtenir un financement par les Business Angels ? En raison des avantages du financement par un Business Angels, il vaut mieux proposer un projet de qualité et innovant, qui permettra de maximiser les chances de se faire financer son projet d’entreprise. L’idéal est de commencer par l’élaboration d’un business plan à la fois réaliste et percutent. Une fois le plan rédigé, le porteur du projet pourra entrer en contact avec un réseau de business Angels installé en France. Selon les envies, les échanges peuvent avoir lieu sur Internet ou directement dans leurs locaux. Après avoir découvert le projet et ses particularités, le Business Angel présentera l’idée auprès des membres de son réseau en leur demandant leurs avis. Si le projet s’avère être intéressant pour le réseau, les Busines Angels feront une proposition de financement. Le cas contraire, l’entrepreneur reçoit une fin de non-recevoir. Cependant, chaque entrepreneur doit se montrer particulièrement vigilant, dès lors qu’il accepte la proposition de financement. En effet, plus le Business Angel réalise d’investissement, plus son pouvoir de décision devient important. Une bonne gestion de son entreprise apparaît donc comme primordiale pour l’entrepreneur ayant obtenu un financement.

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Afin de promouvoir le monde de l’entreprise dans sa globalité, un salon dédié ouvre ses portes les 5 et 6 décembre prochain à Toulouse. Il s’agit du 10éme salon de l’entreprise de Toulouse, preuve de l’attachement du tissu économique local au monde des entrepreneurs. Il s’agit d’un lieu d’échange unique pour obtenir des informations transversales sur la création d’entreprise, la reprise d’entreprise et la franchise notamment.

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Pour la huitième année consécutive se tiendra en novembre prochain, à Toulouse, le Salon de l’Entreprise Midi-Pyrénées. Durant deux jours, tout ce qui touche de près ou de loin à l’entrepreneuriat sera abordé (création, transmission, reprise, franchise, auto-entrepreneuriat, financement, développement).

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Grâce à cette connexion régionale, la capitale occitane va être ramenée à trois heures de distance de Paris par le train, contre quatre aujourd’hui. Début du chantier peut-être en 2024. Il est peu probable que l’équipement soit prêt avant 2030. Depuis plusieurs années, le silence de l’Etat sur le financement du projet la Ligne à grande vitesse entre Toulouse et Bordeaux commençait à susciter des doutes chez les entreprises et décideurs locaux. L’inquiétude est montée d’un cran lorsque le gouvernement a récemment annoncé vouloir débloquer un milliard d’euros pour la LGV Marseille-Nice, sans évoquer celle qui doit relier les Occitans et Aquitain. Signe d’un recul des pouvoirs publics ? Finalement non. mercredi 28 avril la présidente sociale du conseil régional Carole Delga et le président de Toulouse Métropole Jean-Luc Moudenc ont reçu un courrier dans lequel le Premier ministre Jean Castex annonce un engagement de l’Etat à hauteur de 4,1 milliards d’euros dans la réalisation de ce Grand Projet Sud-Ouest (GPSO). Dans le détail, le coût des 253 kilomètres de LGV sera supporté à 40% par l’exécutif national, et à 40% par les collectivités territoriales à travers les deux conseils régionaux concernés et les métropoles desservies, Bordeaux et Toulouse en l’occurrence. Le reliquat de 20% pourrait être abondé par des fonds européens. Matignon compte s’appuyer sur la Loi d’Orientation des Mobilités (Lom) pour constituer une société de financement qui permettra d’accélérer la mise en route de l’opération, prévue au cours de l’année 2024. Le montage de cette structure avec la réunion des fonds nécessaires devraient être finalisées cette année. Mais il faudra être très patients car si l’Etat avance un calendrier –encore hypothétique – pour le démarrage du chantier, aucune date n’est annoncée pour la livraison de l’équipement (Carole Delga évoque et espère « une mise en service de la ligne l’horizon 2030). La déclaration d’utilité publique devrait intervenir dans le courant de l’année 2022. La connexion de Toulouse à Bordeaux permettra de ramener à 3 heures le temps de trajet ferroviaire entre la ville rose et Paris, contre 4 actuellement.La LGV traversera quatre départements, la Haute-Garonne, le Tarn-et-Garonne, le Lot-et-Garonne et la Gironde. Toulouse était la dernière grande métropole française à ne pas être raccordée au réseau national de lignes à grande vitesse.

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Surnommée la « Ville rose », Toulouse est réputée pour sa gastronomie et pour le rugby. Pour tous ceux qui désirent démarrer un  business florissant, c’est également la destination idéale pour les projets entrepreneuriaux. Zoom sur l’intérêt de déménager à Toulouse pour développer un business. Les démarches à suivre pour créer une entreprise Toulouse est devenue une ville en plein essor économique, qui attire de plus en plus de jeunes venus se lancer dans entrepreneuriat. Nombreux sont ceux qui préfèrent ainsi déménager à Toulouse pour monter leur propre business. Cependant, ils ignorent les diverses procédures à suivre pour atteindre leur objectif. Il existe ainsi plusieurs entités, d’abord pour faciliter votre déménagement comme ici, mais également celles qui favorisent la création, la reprise et le développement d’entreprise à Toulouse. Les aides octroyées par ces organismes sont effectives après la présentation de certaines pièces administratives. Il s’agit notamment du formulaire de déclaration de l’entreprise ou CFE, d’une photocopie de la pièce d’identité ou de la présentation des statuts de ladite société. Ces pièces seront à accompagner d’une demande. Ces organismes privilégient en particulier les entreprises proposant des projets innovants sur divers secteurs comme les technologies de l’industrie ou les services du secteur tertiaire. Des aides au financement pour la création d’une société peuvent de surcroit être proposées à ceux qui désirent développer leur business à Toulouse. Cependant, pour en bénéficier, il est indispensable de réaliser une étude de marché. Il existe deux moyens de financement possibles pour tous ceux qui envisagent de créer leur entreprise à Toulouse. D’une part, vous pouvez utiliser vos propres fonds ou faire appel à des subventions comme « EDEN » ou « Défi Jeunes ». D’un autre côté, vous pouvez opter pour les prêts bancaires, dont les prêts à la création d’entreprise ou les prêts de l’Association pour le Droit à l’Initiative Economique (ADIE). Les étapes à suivre pour démarrer un business florissant Tous les businessmen de succès ont débuté avec envie et passion. Une fois que vous avez déterminé le type de business que vous désirez faire prospérer, il faut franchir plusieurs étapes pour y parvenir. Il ne faut pas hésiter à plonger dans le cœur du marché et en faire une étude approfondie. N’hésitez pas à chercher les mots-clés liés à ce marché sur les moteurs de recherche et ne pas vous décourager si le marché semble déjà submergé. Afin de faire toute la différence et vous démarquer de la concurrence, il est important de développer un concept innovant. Ensuite fixez un objectif financier tangible à réaliser sur une période prédéfinie. Cela vous permettra de définir les étapes à franchir pour atteindre cet objectif. Pensez également à réactualiser vos objectifs tous les 6 mois. Assurez-vous de voir plus grand et d’améliorer votre objectif initial. Établir une liste d’emails constitue également une étape essentielle lorsque vous avez décidé de monter une affaire. C’est le meilleur moyen de rentabiliser son business sur le Web. Lorsque vous travaillez sur le développement de votre site Internet, établissez une liste

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Au mois de janvier 2015, la ville de Lourdes a dédié 3 journées aux apiculteurs et aux projets de protection de la biodiversité. Les principaux acteurs du secteur se sont réunis à l’occasion de la 84e Assemblée Générale du SPMF (Syndicat des producteurs de miel de France). L’événement s’est déroulé sous la forme d’un salon, avec des conférences et des dégustations de miel.

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