Le DPO ou Délégué à la Protection des Données, est un professionnel qui assure la conformité des entreprises aux lois relatives à la protection des données à caractère personnel, telles que le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Avec l’accélération de la numérisation et de la croissance exponentielle de la quantité de données personnelles générées et utilisées par les entreprises, le rôle du DPO est devenu essentiel, pour assurer le droit fondamental à la vie privée, prévenir les vulnérabilités en matière de cybersécurité et respecter la réglementation en vigueur. Mis en lumière par l’introduction du RGPD en 2018, ce règlement européen établit des directives strictes pour les entreprises en matière de contrôle et de protection des données personnelles. Les entreprises qui ne respectent pas ce règlement peuvent se voir infliger des sanctions très strictes, notamment des amendes allant jusqu’à 20 millions d’euros, ou dans le cas des sociétés cotées, jusqu’à 4 % de leur chiffre d’affaires total mondial. Qui sont les DPOs ? Le profil type d’un DPO : une combinaison de compétences en droit et en cybersécurité. En raison de la complexité et de la polyvalence de leurs fonctions, les DPO doivent disposer de connaissances spécialisées dans plusieurs domaines, decouvrez ici les questions les plus fréquemment posées sur le DPO. Ils peuvent provenir d’horizons variés, mais possèdent souvent une formation en droit ou en systèmes d’information. Pour optimiser leur efficacité, ils doivent posséder des compétences clés dans diverses disciplines. Formation requise Les DPO ont généralement une formation académique solide en droit, plus précisément en droit lié aux technologies de l’information et de la communication (TIC), ou bien en informatique. Ils sont tenus d’avoir une compréhension approfondie du RGPD ainsi que des principes généraux en matière de protection des données. Des programmes de formation et des certifications spécifiques, proposés par des organismes tels que la CNIL ou le CEPD, sont utilisés par beaucoup de DPO pour compléter leur formation initiale. Compétences nécessaires En plus des connaissances juridiques, les DPO doivent avoir une solide compréhension des principes de la gestion des données et de la cybersécurité du fait de la nature technique de leur rôle. Ils doivent être capables de comprendre comment les systèmes d’information fonctionnent, comment les données sont collectées et traitées, et comment les protéger contre les fuites et les cyberattaques. Ils doivent également être capables de communiquer efficacement ces informations aux différentes parties prenantes de l’entreprise, notamment à la direction générale et aux départements informatiques. Positionnement hiérarchique du DPO au sein de l’entreprise La position du DPO dans la structure organisationnelle de l’entreprise peut déterminer la réussite ou l’échec de sa mission. Plus la position est élevée, plus le DPO peut être efficace, car il aura plus d’influence sur les décisions de l’entreprise. Cela lui permet également de résister à toute pression qui pourrait lui être imposée par d’autres services. Position de la DPO dans la structure organisationnelle Le DPO doit avoir une position hiérarchique qui lui confère une certaine indépendance. Cette indépendance est essentielle pour permettre au DPO d’exécuter ses

[...]

Vous avez peut-être entendu que la création d’un site Web pour une petite entreprise à Toulouse est un jeu d’enfant. Malheureusement, la réalité n’est pas aussi simple. Malgré la tendance actuelle à la création rapide de sites Web, la conception du site Web parfait pour votre entreprise peut être une tâche complexe. Appuyez-vous sur des stratégies éprouvées et vous gagnerez en confiance et économiserez du temps et des efforts à long terme. Dans cet article, vous découvrirez cinq éléments clés à prendre en compte lors de la création d’un site Web pour votre entreprise. Suivez donc ces 5 étapes de considérations lors de la création d’un site Web pour une petite entreprise : Formulez un plan. Choisissez la plate-forme de votre site web. Choisissez un nom de domaine. Choisissez un hébergeur de qualité. Décidez si vous souhaitez externaliser le travail de développement. C’est parti ! Formuler un plan Parlons d’abord de la création d’un plan solide. Dans ce cas, il s’agit de définir clairement les objectifs de votre site Web et de déterminer comment atteindre ces objectifs. Cette étape est essentielle pour plusieurs raisons : Le plan est le point de référence pour toute décision ultérieure. Vous aurez une feuille de route que vous pourrez utiliser pour fixer des délais et des objectifs. Quand les surprises arrivent, vous serez capable de vous y adapter. Le moyen le plus simple de créer un plan consiste à poser des questions sur l’audience de votre site Web et ses besoins. Vous vous demandez peut-être : « A quoi sert mon site ? » ou « Quel est le budget de développement ? ». Certaines de ces questions peuvent sembler évidentes, mais les réponses vous donneront une image plus claire de vos objectifs et de vos besoins. Attention, si vous êtes une agence web ou un créateur de site web, il peut être tentant de choisir la sécurité en suivant des plans que vous avez l’habitude d’utiliser. Chaque entreprise est différente et a des besoins différents, adaptez-vous en conséquence. Si vous êtes une PME et que vous souhaitez contacter une entreprise locale pour votre site internet, cet article vous permettra d’identifier vos besoins plus facilement. Par exemple, si vous contactez une entreprise de création de site internet sur Toulouse, elle saura identifier quand une prestation de référencement naturel est pertinente ou, au contraire, quand cette solution n’est pas la meilleure pour un marché spécifique. Une fois que vous avez les réponses, vous pouvez identifier vos principales priorités et déterminer comment les atteindre. Après avoir terminé cette étape, vous aurez un plan clair et défini qui vous propulsera à l’étape suivante. Choisir votre plateforme web C’est probablement la considération la plus importante après avoir fait un plan. Une mauvaise décision peut vous ralentir et avoir un impact négatif sur votre budget, il est donc important de prendre votre temps. Il existe plusieurs options parmi lesquelles vous pouvez choisir, chacune ayant ses propres avantages et inconvénients : Website builder Des solutions comme Wix vous permettront d’être rapidement opérationnel. C’est la

[...]

Avec trois millions de passagers, la fréquentation de l’infrastructure s’est effondrée de près de 70% en 2020. Qui l’eût cru alors que tous les signaux étaient au vert ? Des chiffres en forte hausse depuis trois ans, une gouvernance remise à plat avec l’arrivée d’un nouvel actionnaire (Eiffage) et des investissements programmés pour améliorer les performances de l’équipement. Toutes ces belles perspectives ont été brutalement balayées par la crise sanitaire à laquelle l’ensemble du secteur aérien continue à payer un très lourd tribut. A Toulouse-Blagnac, l’ampleur de la rupture provoquée par la pandémie donne le vertige : 3 millions de voyageurs sont passés par l’aéroport en 2020, un flux divisé par trois (-67%) par rapport à 2019, loin, très loin du « pic » enregistré cette année-là (9,6 millions de passagers). Effet corollaire : La part des avions qui ont opéré sur place (décollage, atterrissage) est en très forte diminution à -56%. En volume, ce trafic au ralenti a ramené l’aéroport toulousain à son niveau d’activité…de 1989. Un calme relatif dont les riverains ont sans doute ressenti les effets bénéfiques, à mille lieux des préoccupations économiques qui, de l’autre côté du tarmac, agitaient les gestionnaires de l’infrastructure. Comme attendu, l’impact des restrictions liées aux confinements et à la fermeture de certaines frontières a surtout pesé sur le segment de vols internationaux : cette offre est en repli de -75% en un an. La baisse, bien que moins forte, est aussi considérable (-60%) sur le trafic national.Le coup de frein est moins brutal en revanche pour le trafic fret et poste (-28%), sans doute compensé par la montée en puissance du commerce en ligne qui a amorti la paralyse des modes d’échange traditionnels. Au bilan, la facture des pertes économiques générées par la crise est historique : ATB a enregistré un chiffre d’affaires de 82 millions d’euros, un compteur en chute de 47% par rapport l’année précédente. Le groupe accusé un déficit de son résultat opérationnel de 11, 2 millions d’euros.Un point positif :malgré le contexte, les investissements d’infrastructures qui étaient programmés pour 2020 ont été maintenus. Ils ont notamment permis la rénovation d’une piste et l’aménagement d’un nouveau parking avion devant le Hall D. L’accès au tarmac a également été amélioré grâce à la reconfiguration de la salle d’embarquement, et de nouveaux services sont désormais proposés, notamment une offre de location de scooters et de voitures électriques.

[...]

L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) a mis en place un outil régional pour soutenir la trésorerie des entrepreneurs à revenus modestes. Ils n’ont pas eu accès à l’indemnité de 1 500 euros versés par le fonds de solidarité, et essuient des échecs dans leurs demandes de prêts bancaires indispensables à leur relance. Beaucoup de micro-entrepreneurs de la région Occitanie rencontrent les pires difficultés à surmonter la baisse d’activité provoquée par la crise du coronavirus. En cause : un rythme de croisière qu’ils ne parviennent pas à retrouver depuis le déconfinement du 11 mai, et une trésorerie beaucoup trop fragile pour faire face aux dépenses courantes et aux arriérés qui commencent à tomber (loyers et cotisations non payées entre mars et avril). L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie), qui en accompagne beaucoup, tire la sonnette d’alarme : « 96 % d’entre eux ont dû stopper ou très fortement ralentir leur activité pendant la crise ». Et à l’heure qu’il est, ils sont 80% à se trouver dans une situation très incertaine « pour l’avenir ». Pour nombre de ces micro-entreprises sans marge ni sécurité financière, la reprise équivaut presque à une « re-création » et, pour certaines, à un redémarrage de zéro. C’est pour répondre à l’urgence et à ces besoins spécifiques que l’Adie Occitanie lance un « prêt de relance ». Ce dispositif, disponible jusqu’à trois mois après le déconfinement (tout l’été au moins), se décomposera en deux formules, potentiellement cumulables : Un micro-crédit proprement dit, de 5 000 euros maximum remboursables au taux de 3% (mais avec un différé de six mois). De quoi donner de l’air aux entreprises en quête d’argent frais à injecter rapidement dans leur trésorerie. En fonction de la gravité des situations, un prêt d’honneur (de 5 000 euros également) pourra être consenti en complément du premier, sans intérêt cette fois et ni versement de mensualités pendant les deux premières années. Pour financer ce double-outil, l’Adie Occitanie appelle les institutions publiques, les business angels et les banques à se mobiliser afin de réunir « 1 millions d’euros ». Plusieurs partenaires, parmi lesquels le conseil régional, l’agglomération de Montpellier, la banque publique BPI et les acteurs privés Banque Populaire et Crédit Agricole vont apporter leur quote-part au fonds destiné abonder prêt d’honneur de l’Adie dans la Région. Contact : Agence Adie de Toulouse Caravelle tel : 05 61 43 97 67

[...]

En 2016, le commerce sur le web a généré un chiffre d’affaires supérieur à 70 milliards d’euros. Surprenant ? Pas vraiment. 80 % et plus de la population française passent du temps en ligne. Il n’est donc pas étonnant que la vente en ligne prenne de l’ampleur. Les vendeurs ne sont pas uniquement les magasins de grandes marques, mais bien au-delà. Les e-acheteurs cherchent de plus en plus l’authenticité. Une raison pour penser à une création site e-commerce. La monté en flèche de la vente en ligne En 2017, nous comptons une cinquantaine de millions d’internautes en France et le chiffre ne cesse d’augmenter. Ces personnes utilisent Internet au quotidien et se connectent au moins une fois par jour. Pour cette raison, la toile est devenue un grand réseau de prospection. La vente en ligne croît en flèche. D’après les statistiques, sept internautes sur dix ont déjà fait au moins un achat sur le web et leur budget augmente de plus en plus. En dix ans, la dépense moyenne d’un internaute pour un achat en ligne s’est multipliée par trois. Si en en 2007, un e-acheteur dépensait dans les 760 euros pour une trentaine d’acquisitions, en 2017 la moyenne est de 2100 euros environ. La création site e-commerce constitue donc un bon investissement à mettre impérativement en place dans le cadre des stratégies marketing. Le marché du commerce en ligne a dépassé 80 milliards d’euros en 2017 et les centaines de milliards en 2019. L’essor du commerce sur le web, surtout avec l’avènement d’internet mobile, est incontournable. Lorsque monsieur ou madame va à une soirée et n’a pas le temps faire le tour des boutiques pour trouver la tenue idéale, internet résout le problème de plus d’un. Pour plus d’infos, cliquer sur ce site si vous souhaitez créer un site e-commerce. Le magasin sans frontière ouvert à toute heure Au-delà de cette effervescence du marché sur le web, la création de sites e-commerce ouvre l’e-boutique à une nouvelle zone de chalandise, à une nouvelle ville et à une nouvelle frontière. Finies les frontières, car désormais, même les internautes de l’autre côté de la contrée arrivent peuvent accéder à un catalogue e-commerce. Cependant, pour cibler une audience plus large, le mieux est de proposer une page web multilingue pour atteindre le maximum de clientèle. Un site francophone attirerait évidemment une clientèle francophone. Présenter un site avec option de langue française, anglaise, espagnole, allemande et italien entre autres ouvre le marché vers d’autres horizons. Les résidents étrangers trouvent plus intéressant un site francophone avec leurs langue maternelle. Ils se sentent valorisés et recommandent la boutique virtuelle et physique à leurs connaissances. Pourquoi ne pas s’ouvrir à d’autres continents ? C’est un projet ambitieux, mais pas absurde. D’ailleurs, l’heure et le moment d’ouverture du magasin constituent une autre raison pour avoir une boutique en ligne. Les insomniaques peuvent décider à deux heures du matin de commander un smartphone plus performant ou de faire appel à un informaticien pour maintenir son PC le lendemain.

[...]

Des travaux d’agrandissement menés sur la ligne A vont mettre le métro toulousain à l’arrêt pendant un mois. C’est la première étape d’un lourd programme d’investissements qui s’étalera jusqu’en 2020. Une des artères majeures du réseau toulousain de transport collectif est gelée depuis lundi. En cause, un gros programme de restructuration qui s’inscrit dans un projet de long terme visant à adapter les stations de la ligne A à l’accueil de rames plus longues pour désengorger le trafic-passager. 230 000 voyageurs quotidiens Aujourd’hui, l’équipement embarque quelque 230 000 personnes par jour, un flux qui n’est plus supportable aux heures de pointe sur certains secteurs. Augmenter la fréquence des trams n’étant plus possible pour des raisons évidentes de sécurité, la métropole a dû opter pour la seule solution qui vaille : l’agrandissement des rames jusqu’au double de leur capacité actuelle. Or, plusieurs stations souterraines ne sont pas adaptées pour accueillir ces nouveaux convois de 52 mètres de longueur. Il faut donc agrandir leurs quais : c’est le cas à Mermoz, Fontaine-Lestang, Patte-d’Oie et Basso-Cambo (en aérien). L’opération est si lourde qu’elle s’étendra sur deux autres étés, jusqu’en 2020 date à laquelle les nouvelles rames seront déployées. Ce chantier de longue haleine est le plus gros investissement du mandat en cours : 180 millions seront débloqués, dont près de la moitié dans le gros œuvre, l’autre moitié (66 millions d’euros) dans la mise à jour des systèmes informatiques installées sur les façades des quais. Pour compenser l’arrêt du trafic entre les deux terminus Balma-Gramont et Mirail-Basse-Combo, la ligne B est renforcée et complété par des navettes assurant des allers-retours entre les parkings-relais des Argoulets à l’est (ligne A, rue de Gaillac) et le terminus de Borderouge, au nord. les passages de bus sont également plus nombreux sur les lignes 12 et 14 et sur le réseau complémentaire de substitution (lignes 130 et 140).

[...]

Ryanair, Easy Jet et Volotea étoffent leur programme estival avec treize nouveaux vols au départ de l’aéroport de Toulouse. Dans un communiqué, les gestionnaires de l’équipement annoncent une offre en croissance l’été prochain avec, au menu des vols réguliers, une rotation de 17 liaisons en France et 63 à l’étranger. Sur le segment charters, un total de 37 destinations sera assuré par onze compagnies aériennes et douze tour-opérateurs, annonce encore la direction de Toulouse-Blagnac. En nombre de sièges commercialisés, la capacité grimpe de +14,1% par rapport à 2016 à 7,7 millions d’unités. Nouveaux départs en Espagne et en Italie Arrivé dans la ville rose en septembre dernier, Ryanair ajoute deux nouveaux vols à son catalogue : Naples (Italie) à raison de deux départs par semaine chaque mercredi et dimanche, et une liaison quotidienne vers Lisbonne (Portugal). Deux nouveautés qui s’ajoutent aux sept voyages mis en place cet hiver par l’opérateur irlandais: Berlin (Allemagne), Bruxelles (Belgique), Fès (Maroc), Varsovie (Pologne) La Valette (Malte), Londres-Stansted (Grande-Bretagne) et Madrid (Espagne). La compagnie britannique Easy Jet lance, de son côté, deux vols saisonniers vers le sud de l’Espagne, Valence du 29 juin au 3 septembre (deux embarquements par semaine le jeudi et le dimanche) et Malaga à partir du 9 juin (3 fois par semaine le lundi, mercredi et vendredi). Venise (Italie) complètera les nouveautés estivales dès le 10 juin chaque mardi, jeudi et samedi. L’espagnol Volotea enfin renforce son offre dans l’ouest de la France avec l’ouverture d’une desserte normande au départ de Toulouse-Blagnac vers l’aéroport de Caen (deux départs par semaine le lundi et vendredi) et en ligne directe à Nantes (Pays de la Loire) quatre fois par semaine (lundi, jeudi, vendredi et dimanche). Au programme également, des destinations ensoleillées vers Cagliari en Sardaigne (le jeudi), Alicante en Espagne (un à deux départs par semaine), Las Palmas et Tenerife aux Canaries (un vol hebdomadaire le samedi en avril et octobre pour le premier, les samedis et dimanches pour le second), Naples en Italie (deux vols par semaine jusqu’au 2 mai, puis un départ) et Santorin en Grèce (chaque jeudi entre juin et septembre).

[...]