Pour mener à bien un projet, il est nécessaire de déterminer les différents indicateurs de suivi. Ces indicateurs permettront de mesurer les résultats de chaque projet et de vérifier si les objectifs ont été atteints. La notion d’indicateurs clés de performance Les indicateurs clés de performance ou Key Performance Indicators (KPI) aident dans l’évaluation d’une situation afin de pouvoir prendre une décision adaptée. En règle générale, un indicateur doit être précis, mesurable, réaliste et défini dans le temps. Pour chaque service d’une entreprise, il est important de définir les KPI à suivre. En effet, chaque service a ses propres objectifs et ses propres tâches. La valeur d’un indicateur est souvent représentée sous forme de courbe, pour juger de son évolution au fil des mois. Dans chaque représentation, on retrouve le nom de chaque indicateur, l’objectif fixé avant le démarrage du projet et la valeur réelle de l’indicateur. Des jeux de couleurs viennent s’ajouter à la courbe. Les trois couleurs les plus utilisées sont le vert, le rouge et l’orange : le vert indique que tout va bien (un bon résultat) ; le rouge est utilisé pour prendre des mesures correctives nécessaires et l’orange pour signaler un critère à surveiller. Il convient de bien choisir ses indicateurs pour pouvoir identifier de manière efficace et rapide les éventuels écarts et les risques d’écart par rapport à l’objectif. Comment bien choisir ses indicateurs clés de performance ? Avant de porter son choix en matière de KPI, il faut savoir que chaque indicateur est associé à un objectif précis, ce qui implique une décision. En tant qu’outil suivi de projet, un indicateur doit également être pertinent et simple. À titre de rappel, un KPI a un impact financier sur le projet et facilite la gestion. On distingue ainsi 4 catégories de KPI les plus courants dans le cadre d’un projet : –  les indicateurs de budget –  les indicateurs de délais –  les indicateurs de qualité –  les indicateurs d’efficacité Il incombe au chef de projet ainsi qu’à son équipe de choisir les bons KPI dès le début du projet. Les indicateurs de délais L’indicateur d’écart de durée permet de mesurer l’écart de durée d’exécution d’un projet, si une tâche est plus longue à accomplir que ce qui a été prévu initialement. Son calcul est simple : durée réelle-durée initiale / durée initiale. Cet indicateur peut également être utilisé pour mesurer la durée d’une phase ou de la durée totale du projet. Le « KPI de délais », quant à lui, montre si le projet est en avance ou en retard, tant sur le plan budgétaire que sur la plan temporel. Voici sa formule : temps initialement prévu ou budget – temps ou budget actuellement utilisé. Un résultat négatif signifie une réussite dans l’accomplissement du projet. Les indicateurs de coût Parmi les indicateurs de coût, on distingue l’écart de coût du projet et le coût actuel du projet. Le premier permet de savoir si le coût effectif du projet et celui du coût prévu

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Le nombre de touristes qui se rendent en pèlerinage à Lourdes pourrait augmenter considérablement si des solutions à long terme seront mises en œuvre les prochaines années. Lors d’une réunion du comité des sages de la ville de Lourdes concernant le projet « Lourdes 2016-2030 », une solution viable a été proposée: la création d’un espace à la fois spirituel et touristique.

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Les énergies renouvelables séduisent de nombreux propriétaires de maisons et d’appartements, mais également les établissements publics. Dans la région Midi-Pyrénées, le Lycée de Pibrac vient de lancer un projet de géothermie. Les équipements de chauffage qui seront installés dans les salles de cours permettront de réduire considérablement ses factures énergétiques.

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Aménager sa maison pour en faire un endroit confortable et accueillant est un geste que toute personne devrait avoir. Cela est essentiel pour leur bien-être. Parmi les travaux qui peuvent être réalisés, il y a la pose de revêtements. Cela peut tout à fait se faire sur différentes surfaces d’une pièce. Il est en effet possible d’habiller le sol et aussi les murs. Ce sont d’ailleurs des zones qui méritent que l’on décore avec goût pour une décoration réussie. Opter pour le carrelage reste une idée intéressante. Un excellent choix pour habiller le sol Le sol représente un élément qui a toute son importance dans la décoration d’une maison. Il est important que les occupants songent à bien l’entretenir. Cela dépendra dans une large mesure de la manière dont cette zone sera habillée. Le choix du revêtement du sol est une étape à ne surtout pas prendre à la légère. D’une part, il est à noter que cette initiative permettra d’ajouter un atout non négligeable à la déco intérieure d’une pièce. Un sol bien orné reste un point positif pour cette dernière, peu importe sa fonction. Qu’il s’agisse d’une pièce dédiée à l’usage exclusif des locataires comme la chambre à coucher par exemple, ou d’un espace qui accueillera des invités, le sol devra être choisi avec soin. D’autre part, un sol doté d’un revêtement adéquat sera plus solide et plus durable. Opter pour le carrelage est le choix d’un bon nombre de ménages pour diverses raisons : D’innombrables modèles de coloris, de motifs et de matériaux Les magasins de matériaux de bricolage et de construction sont les lieux à privilégier pour l’achat de carreaux de qualité. Qu’ils soient en ligne ou dans des points de vente physiques, les revendeurs de carrelage offrent un large éventail de choix. C’est notamment le cas de ce magasin de carrelage à Toulouse qui propose aux porteurs de projet des revêtements et du carrelage, sur un site où ils pourront puiser différentes informations utiles. Un revêtement indémodable Le carrelage propose d’arborer un look élégant et surtout indémodable à l’intérieur d’une maison. C’est un revêtement qui peut tout à fait rester tendance, à condition de bien choisir le matériau avec lequel les carreaux sont fabriqués. Le carrelage peut être en grès, en pierre, en marbre, ou encore en granit ou en ardoise. Le choix sera fait selon les besoins et les goûts des habitants de la maison. Un choix économique Pour les acheteurs qui ne peuvent pas allouer un énorme budget au revêtement du sol, le carrelage est une option conseillée par de nombreux spécialistes de ce domaine. Les tarifs appliqués sur le marché sont variés. Pour s’en rendre compte, les acheteurs sont invités à passer chez un revendeur près de chez eux. Ce dernier peut proposer un showroom où les clients pourront voir les carreaux disponibles sur son catalogue, ainsi que les prix de ces derniers. Ce qui leur permettra de comparer plusieurs solutions. Des carreaux aux murs : une idée déco pratique Le carrelage

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Grâce à cette connexion régionale, la capitale occitane va être ramenée à trois heures de distance de Paris par le train, contre quatre aujourd’hui. Début du chantier peut-être en 2024. Il est peu probable que l’équipement soit prêt avant 2030. Depuis plusieurs années, le silence de l’Etat sur le financement du projet la Ligne à grande vitesse entre Toulouse et Bordeaux commençait à susciter des doutes chez les entreprises et décideurs locaux. L’inquiétude est montée d’un cran lorsque le gouvernement a récemment annoncé vouloir débloquer un milliard d’euros pour la LGV Marseille-Nice, sans évoquer celle qui doit relier les Occitans et Aquitain. Signe d’un recul des pouvoirs publics ? Finalement non. mercredi 28 avril la présidente sociale du conseil régional Carole Delga et le président de Toulouse Métropole Jean-Luc Moudenc ont reçu un courrier dans lequel le Premier ministre Jean Castex annonce un engagement de l’Etat à hauteur de 4,1 milliards d’euros dans la réalisation de ce Grand Projet Sud-Ouest (GPSO). Dans le détail, le coût des 253 kilomètres de LGV sera supporté à 40% par l’exécutif national, et à 40% par les collectivités territoriales à travers les deux conseils régionaux concernés et les métropoles desservies, Bordeaux et Toulouse en l’occurrence. Le reliquat de 20% pourrait être abondé par des fonds européens. Matignon compte s’appuyer sur la Loi d’Orientation des Mobilités (Lom) pour constituer une société de financement qui permettra d’accélérer la mise en route de l’opération, prévue au cours de l’année 2024. Le montage de cette structure avec la réunion des fonds nécessaires devraient être finalisées cette année. Mais il faudra être très patients car si l’Etat avance un calendrier –encore hypothétique – pour le démarrage du chantier, aucune date n’est annoncée pour la livraison de l’équipement (Carole Delga évoque et espère « une mise en service de la ligne l’horizon 2030). La déclaration d’utilité publique devrait intervenir dans le courant de l’année 2022. La connexion de Toulouse à Bordeaux permettra de ramener à 3 heures le temps de trajet ferroviaire entre la ville rose et Paris, contre 4 actuellement.La LGV traversera quatre départements, la Haute-Garonne, le Tarn-et-Garonne, le Lot-et-Garonne et la Gironde. Toulouse était la dernière grande métropole française à ne pas être raccordée au réseau national de lignes à grande vitesse.

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